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 VIAN Boris

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MessageSujet: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitimeJeu 26 Juin - 11:20

Le déserteur




Monsieur le Président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps
Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir
Monsieur le Président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens
C'est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m'en vais déserter

Depuis que je suis né
J'ai vu mourir mon père
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants
Ma mère a tant souffert
Elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers
Quand j'étais prisonnier
On m'a volé ma femme
On m'a volé mon âme
Et tout mon cher passé
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J'irai sur les chemins

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens:
Refusez d'obéir
Refusez de la faire
N'allez pas à la guerre
Refusez de partir
S'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le Président
Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'armes
Et qu'ils pourront tirer






Dernière édition par Morgane le Jeu 26 Juin - 13:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitimeJeu 26 Juin - 11:26

Fait moi mal Jonnhy


Il s'est levé à mon approche

Debout, il était bien plus p'tit

Je me suis dit c'est dans la poche

Ce mignon-là, c'est pour mon lit

Il m'arrivait jusqu'à l'épaule

Mais il était râblé comme tout

Il m'a suivie jusqu'à ma piaule

Et j'ai crié vas-y mon loup



Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny

Envoie-moi au ciel... zoum!

Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny

Moi j'aim' l'amour qui fait boum!

Il va lui faire mal (X4)



Il n'avait plus que ses chaussettes

Des bell' jaunes avec des raies bleues

Il m'a regardé d'un œil bête

Il comprenait rien, le malheureux

Et il m'a dit l'air désolé

Je n'ferais pas d'mal à une mouche

Il m'énervait! Je l'ai giflé

Et j'ai grincé d'un air farouche



Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny

chuis pas une mouche... zoum!

Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny

Moi j'aim' l'amour qui fait boum!

Vas y fait lui mal (X4)



Voyant qu'il ne s'excitait guère

Je l'ai insulté sauvagement

J'y ai donné tous les noms d'la terre

Et encor' d'aut's bien moins courants

Ça l'a réveillé aussi sec

Et il m'a dit arrête ton charre

Tu m'prends vraiment pour un pauve mec

J'vais t'en r'filer, d'la série noire



Tu m'fais mal, Johnny, Johnny, Johnny

Pas avec les pieds... zing!


Tu m'fais mal, Johnny, Johnny, Johnny

J'aim' pas l'amour qui fait bing!


Il lui a fait mal (X4)



Il a remis sa p'tite chemise

Son p'tit complet, ses p'tits souliers

Il a descendu l'escalier

En m'laissant une épaule démise

Pour des voyous de cette espèce

C'est bien la peine de faire des frais

Maintenant, j'ai des bleus plein les fesses

Et plus jamais je ne dirai



Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny

Envoie-moi au ciel... zoum!

Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny

Moi j'aim' l'amour qui fait boum!

Oh Jonnhy, Oh la vache,
Oh j'en ai marre alors!


Dernière édition par Morgane le Ven 27 Juin - 10:03, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitimeJeu 26 Juin - 11:29

Mozart avec nous

Au temps des dorur' et des falbalas

Les marquis frivol' et les marquis' au frais minois

Pour un menuet timide

Esquissaient trois petits pas

Grâces envolées, vieux airs du passé

Clavecin fragile aux résonances d'autrefois

Un gosse à perruque blanche

A fait danser tous ces gens-là



Cha cha cha, cha cha cha, non tu n'existais pas encore

Cha cha cha, cha cha cha, le Brésil n'en était pas là



Douce mélodie qui fit cent fois le tour du monde

Et que Mozart a négligé d'agrémenter de quelques cha cha cha

Sur ton rythme gai dansez les brunes et les blond'

En oubliant le temps bien proche où pianotaient vos petits doigts



Cha cha cha, cha cha cha, c'est votre vieille Marche Turque

Cha cha cha, cha cha cha, venez marquise, écouter ça!



Tout près d'Istambul, sous les pergolas

Tous les jeunes Turcs s'en vont danser le cha cha cha

Et la fraîche odeur des roses

Vient parfumer leurs ébats

Sous le ciel troublant des nuits de gala

Quand un beau danseur serre un fille entre ses bras

Dans les yeux de sa compagne

Il sait ce qu'il trouvera



Cha cha cha, cha cha cha, ce gai refrain qui nous enivre

Cha cha cha, cha cha cha, et qui jamais ne finira



Que ce soit Rio, Paris, New York, les Dardanelles

On ne peut résister longtemps quand on entend venir le cha cha cha

Rythme tropical aux senteurs d'ambre et de cannelle

Emporte-nous bien loin de tout dans l'allégresse et dans la joie



Cha cha cha, cha cha cha, nuits étoilées sur le Bosphore

Cha cha cha, cha cha cha, drôl' de truc turc que ce truc-là

Cha cha cha, cha cha cha, ah non vraiment, on n'est pas forts

Cha cha cha, cha cha cha, Mozart ne méritait pas ça



Mais faut bien vi-i-ivre

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MessageSujet: Re: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitimeJeu 26 Juin - 11:36

La java des bombes atomiques

Mon oncle un fameux bricoleur

Faisait en amateur

Des bombes atomiques,

Sans avoir jamais rien appris

C'était un vrai génie

Question travaux pratiques,

Il s'enfermait tout' la journée

Au fond d'son atelier

Pour fair' ses expériences,

Et le soir il rentrait chez nous

Et nous mettait en trans'

En nous racontant tout



Pour fabriquer une bombe " A "

Mes enfants croyez-moi

C'est vraiment de la tarte

La question du détonateur

S'résout en un quart d'heur'

C'est de cell's qu'on écarte

En c'qui concerne la bombe " H "

C'est pas beaucoup plus vach'

Mais un' chos' me tourmente,

C'est qu'cell's de ma fabrication

N'ont qu'un rayon d'action

De trois mètres cinquante,

Y a quéqu'chos' qui cloch' là-d'dans

J'y retourne immédiat'ment.



Il a bossé pendant des jours

Tâchant avec amour

D'améliorer l'modèle

Quand il déjeunait avec nous

Il dévorait d'un coup

Sa soupe au vermicelle

On voyait à son air féroce

Qu'il tombait sur un os

Mais on n'osait rien dire

Et pis un soir pendant l'repas

V'là tonton qui soupir'

Et qui s'écrie comm' ça.



A mesur' que je deviens vieux

Je m'en aperçois mieux

J'ai le cerveau qui flanche,

Soyons sérieux disons le mot

C'est même plus un cerveau

C'est comm' de la sauce blanche,

Voilà des mois et des années

Que j'essaye d'augmenter

La portée de ma bombe,

Et je n'me suis pas rendu compt'

Que la seul' chos' qui compt'

C'est l'endroit où s'qu'ell' tombe.

Y a quéqu'chose qui cloch' là-d'dans,

J'y retourne immédiat'ment


Sachant proche le résultat

Tous les grands chefs d'Etat

Lui ont rendu visite,

Il les reçut et s'excusa

De ce que sa cagna

Etait aussi petite,

Mais sitôt qu'ils sont tous entrés

Il les a enfermés

En disant soyez sages,

Et, quand la bombe a explosé

De tous ces personnages

Il n'est plus rien resté



Tonton devant ce résultat

Ne se dégonfla pas

Et joua les andouilles,

Au Tribunal on l'a traîné

Et devant les jurés

Le voilà qui bafouille,

Messieurs c'est un hasard affreux

Mais je jur' devant Dieu

En mon âme et conscience,

En détruisant tous ces tordus

Je suis bien convaincu

D'avoir servi la France,

On était dans l'embarras

Alors on l'condamna

Et puis on l'amnistia,

Et l'pays reconnaissant

L'élu immédiat'ment

Chef du gouvernement.


Dernière édition par Morgane le Ven 27 Juin - 9:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitimeJeu 26 Juin - 11:39

Boris Vian (10 mars 1920, Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) - 23 juin 1959, Paris) est un écrivain français, ingénieur de l'École centrale, inventeur, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste). À ces multiples talents, il convient d'ajouter ceux de conférencier, scénariste et traducteur (anglo-américain). Il a également publié sous les pseudonymes de Vernon Sullivan ou Bison Ravi, Baron Visi ou Brisavion (anagrammes de son nom).

Boris Vian est né le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray dans les Hauts-de-Seine. Son père Paul est rentier et sa mère Yvonne Ravenez est une pianiste et harpiste amateur.

Le frère aîné de Boris s'appelle Lélio et est né le 17 octobre 1918. Il y aura deux autres enfants après Boris, Alain né le 24 septembre 1921, et Ninon née le 15 septembre 1924.

À l'âge de douze ans il a été victime d'un rhumatisme articulaire aigu qui lui a occasionné une insuffisance aortique.

Cette maladie du cœur, dont ses œuvres porteront la trace, en fera la cible de l'affection trop étouffante de sa mère. Il en parlera d'ailleurs dans L'Herbe rouge, et plus encore, dans L'Arrache-cœur.

Après le lycée Condorcet, à Paris, il entre à l'École Centrale en 1939, puis travaille comme ingénieur à l'Association française de normalisation (AFNOR) [1], de 1942 à 1946, où il profite de ses instants de liberté pour écrire et jouer de la musique jazz.

Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés, café de Flore ou des Deux Magots à l'époque où ceux-ci rassemblent intellectuels et artistes de la rive gauche : Jean-Paul Sartre (le Jean Sol Partre de L’Écume des jours), Raymond Queneau, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco, Marcel Mouloudji, ou Miles Davis.

Son premier roman célèbre (sous l'hétéronyme de Vernon Sullivan) est J'irai cracher sur vos tombes, écrit en 1946. Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Boris Vian est condamné en 1950 pour outrage aux bonnes mœurs. S'ensuivent des romans tout aussi noirs et sarcastiques : Les morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux, Elles se rendent pas compte.

Si les œuvres à succès, signées Vernon Sullivan, ont permis à Vian de vivre, elles ont aussi occulté les romans signés de son vrai nom, œuvres plus importantes à ses yeux. En effet, seuls ces derniers, d'après lui, avaient une véritable valeur littéraire. Après l'échec de L'Arrache-cœur, Boris Vian décide donc d'abandonner la littérature.

Passionné de jazz, il joue de la trompette de poche (rebaptisée « trompinette ») au Tabou, célèbre club de Saint-Germain-des-Prés. Il est aussi directeur artistique chez Philips et chroniqueur dans Jazz Hot de décembre 1947 à juillet 1958, où il tient une « revue de la presse » explosive et extravagante. Henri Salvador disait de lui : « Il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz ».

Les années 1951-1952 seront des années sombres pour Boris Vian. Il vient de quitter sa femme Michelle Léglise, dont il a eu deux enfants, Patrick en 1942 et Carole en 1948, et il vit difficilement de traductions dans une chambre de bonne au 8 boulevard de Clichy. Il n'a plus un sou mais le fisc s'acharne à lui soutirer des impôts anciens qu'il ne peut payer. Son esprit fécond l’amène cependant à collaborer au collège de 'Pataphysique (la science des solutions imaginaires), fondé en 1948. Il y retrouve Raymond Queneau, et il est nommé Équarrisseur de première classe en 1952 puis satrape en mai 1953. Dans cette aimable corporation, il donne libre cours à son imagination pour fournir des communications et des inventions baroques telles que le gidouillographe ou le pianocktail[2]. En 1954, il épouse Ursula Kübler.

Il fait quelques apparitions sur scène, au théâtre et dans quelques films. Il joue par exemple le cardinal de Paris dans Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy.

Le matin du 23 juin 1959, Boris Vian assiste à la première de J'irai cracher sur vos tombes, film inspiré de son roman. Il a déjà combattu les producteurs, sûrs de leur interprétation de son travail, et publiquement dénoncé le film, annonçant qu'il souhaitait faire enlever son nom du générique. Quelques minutes après le début du film, il s'effondre dans son siège et meurt d'une crise cardiaque en route vers l'hôpital. Le Collège de 'Pataphysique annonce la mort apparente du « Transcendant Satrape ».

Son œuvre connut un immense succès public posthume dans les années 1960 et 1970, notamment pendant les événements de mai 68. Les jeunes de la nouvelle génération redécouvrent Vian, l'éternel adolescent, dans lequel ils se retrouvent.

Œuvres [modifier]

Il a écrit onze romans, quatre recueils de poèmes, plusieurs pièces de théâtre, des nouvelles, de nombreuses chroniques musicales (dans la revue Jazz Hot), des scénarios de films, des centaines de chansons (notamment pour Serge Reggiani et Juliette Gréco), etc., le tout avec une verve qui lui est propre.

Sous son propre nom, il a écrit des romans fantastiques, poétiques et burlesques, les plus connus étant L'Écume des jours et L'Automne à Pékin, d'autres étant L'Arrache-cœur, L'Herbe rouge, etc.

Il est également auteur de pièces de théâtre, de nouvelles (L'Oie bleue, La Brume, Les Fourmis, …) de chansons, et fervent défenseur de la 'Pataphysique.

Sa chanson la plus célèbre (parmi les 461 qu'il a écrites) est Le Déserteur, chanson anti-militariste écrite à la fin de la guerre d'Indochine (soit le 15 février 1954), juste avant la guerre d'Algérie. Cette chanson fut interdite sur les ondes dans sa version d'origine en raison du couplet final litigieux :

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je possède une arme [3]
Et que je sais tirer

(Version attestée par Françoise Renaudot, dans son ouvrage il était une fois Boris Vian)

Ce couplet fut tardivement remplacé par :

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'arme
Et qu'ils pourront tirer

Boris Vian fut l'objet de poursuites de la part de paramilitaires d'extrême-droite. Sous sa deuxième forme, la chanson eut un réel succès dans les années 1960, chantée par Peter, Paul and Mary ; mais Vian était déjà mort.

Amoureux de la culture américaine, il a traduit en français le grand classique de la science-fiction qu'est Le Monde des Ā d'A. E. van Vogt, tout comme sa suite Les Joueurs du Ā. Il a également traduit Raymond Chandler, le poème Jabberwocky de Lewis Carroll extrait de De l'autre côté du miroir, les mémoires du Général Omar Bradley A Soldier's Story et le roman Demain les chiens de Clifford D. Simak.

Il a aussi traduit la biographie romancée du trompettiste de jazz américain Bix Beiderbecke (1903-1931). Il s'agit de l'ouvrage intitulé Le jeune homme à la trompette, rédigé par Dorothy Baker en 1938. Boris Vian a réalisé cette traduction pour Gallimard en 1951.
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MessageSujet: Re: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitimeJeu 26 Juin - 21:18

Morgane a écrit:
Le déserteur
J'adOOOre cette chanson. Merci Morgane.


Morgane a écrit:
Fait moi mal Jonnhy
Celle ci je ne connaissais pas mais elle m'a fait rire ! Cool


Morgane a écrit:
Mozart avec nous
Morgane a écrit:
La java des bombes atomiques
J'aime bien celles ci elles sont très entrainantes.
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MessageSujet: Re: VIAN Boris   VIAN Boris Icon_minitime

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